vrijdag 13 december 2013

Paris : vendredi 13 : Brassai & Centre Pompidou




Ik neem om 9u de RER tot aan het  Musée du Luxembourg





Visite de l'exposition 

"La Renaissance et le Rève" 

La Renaissance a conféré aux songes une importance extraordinaire. Pour les philosophes, les théologiens, les médecins et les poètes des XVe et XVIe siècles, en rêvant, l’homme s’évade des contraintes de son corps et peut entrer en relation avec les puissances de l’Au-delà, divines ou maléfiques. Loin des questionnements de notre époque marquée par la psychanalyse et renseignée par les neurosciences, cette conception fascine les artistes de la Renaissance, qui sont confrontés en outre à un défi majeur : comment représenter l’irreprésentable ? Selon le sujet, les périodes et les régions, ils ont apporté à cette question des réponses fort différentes, que l’exposition propose de réunir et de confronter. 

Le parcours conduit naturellement le visiteur de l’endormissement au réveil, traversant rêves, visions et cauchemars. 
Réunissant près de quatre-vingts œuvres d’artistes illustres de la Renaissance, de Jérôme Bosch à Véronèse, en passant par Dürer ou Le Corrège, l’exposition permet de découvrir cet âge d’or de la représentation du rêve et invite chacun à laisser libres les voies de son imagination et à s’abandonner aux troublantes images du rêve. 

Andrea Sansovino "Allégorie du Sommeil ou de la Mort:
Le Char du Soleil ou de l'Ame"





Hieronymus Bosch (school)   "La Vision de Tondal"
Hieronymus Bosch "Vision apocalyptique"
Hieronymus Bosch "Visions de l'Au-delà" :
Le Paradis Terrestre - La Montée des bienheureux vers l'empyrée - La Chute des damnés - L'Enfer

Dominikos Theotokopulos, dit "El Greco"
"Le Rêve de Phlippe II"





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Afspraak met Diane om 12u op de Pont Saint-Louis.

We gaan eerst lunchen in "Le Louis IX , rue des Deux Ponts





Après le déjeuner visite de l’exposition "Brassai, Pour l’amour de Paris" qui relate l'histoire exceptionnelle d'une passion, celle qui a uni pendant plus de cinquante ans Brassaï l'écrivain, le photographe, le cinéaste, aux coins et recoins de la capitale mais aussi à tous ceux, intellectuels, artistes, grandes familles, prostituées et vauriens, bref à tous ceux et celles qui font la légende de Paris. Toute sa vie en effet, Paris demeure au cœur de sa réflexion, le fil rouge de son travail.

BRASSAÏ, LE PHOTOGRAPHE VENU D'AILLEURS


Né en 1899 à Brasso en Transylvanie, Gyulus Halasz qui prendra le nom de Brassaï lorsqu'il commencera à photographier en 1929, vient tout juste de fêter ses quatre ans lorsque son père professeur de littérature l’embarque avec lui à Paris où il est invité à passer une année sabbatique. Cette période d'enchantement miraculeuse reste à jamais gravée dans la mémoire du jeune homme.

Cette fascination pour Paris amène Brassaï à rejoindre la capitale française en 1924 après ses études d'art à Berlin. Il va rapidement rencontrer Desnos, Prévert qui l’intègrent dans le milieu brillant des artistes et intellectuels qui font la renommée desAnnées Folles à Montparnasse et l'introduisent dans la nébuleuse surréaliste
Sa pensée s'attache insensiblement à transformer le réel en décor irréel. Il recherche les objets les plus ordinaires et en détourne le sens, ose les juxtapositions insolites et défamiliarise la perception en sortant le réel de son contexte. Voici comment naîtra sa quête obstinée des graffitis à partir de 1929.




Om de dag in schoonheid, cultureel te beeïndigen bezoek ik nog het 
Centre Pompidou, waar ik al lange tijd niet meer was.



Eerst bezoek ik de tijdelijke tentoonstelling  

"Le Surréalisme et l'objet"






Giorgio de Chirico "L'inquiétude de la vie ou L'Astronome


Alberto Giacometti "Main prise" 1932
Arnaud Labelle-Rejoux "A la main du diable" 2013
Joan Miro "Sa Majesté" 1967








Daniel Dewar et Grégory Gicquel

Prix Marcel Duchamp 2012

Daniel Dewar et Grégory Gicquel, lauréats du Prix Marcel Duchamp 2012, investissent l’Espace 315 du Centre Pompidou. Puisant leur inspiration dans la matière même de leurs œuvres, dans l’espace temps du procédé et de la méthode, Daniel Dewar et Grégory Gicquel forcent les rencontres inédites de sujets et de matériaux. Ici une tapisserie monumentale, nouée à la main, là plusieurs assemblages de pièces de pouzzolane, pierre volcanique que les deux artistes soumettent à la chaleur pour en recueillir les modifications d’état, de forme et de texture. 












Pavel Pepperstein "Kandinsky Tower"
Berlinde De Bruyckere "Eén, 2004"
Gerhard Richter "Snow White, Jan 2006



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